• Non je n'en fais pas trop !



    Nainy DIABATE est incontestablement la voix feminine Afrikaine qui m'a la plus marquée ! Ecouté Magnoumako (album Nafa) et vous constaterez que cette voix vient réellement d'un autre monde !!!



                                         


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  •  Ismaël Isaac , chanteur Ivoirien , inspiré du maitre (Bob Marley) et de son compatriote Alpha Blondy , Ismaël Isaac vous berce et vous envoute par sa voix douce et ses rythmes Reggae...



     

    ismael isaac

    A vos écouteurs...


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  • Connaissez vous Geoffrey Oryema ?

    Oui trés certainement déjà entendu

    sans le savoir...Générique du cercle

    de minuit ; avec Tonton David et

    Manu Katche pour "Chacun sa

    route" , pas trop connu en réalitée

    et c'est tellement domage !

    Si vous aimez la musik Afrikaine ,

    si vous avez un peu de sensibilitée ,

    si vous aimez les douces et profondes

    ballades...Alors vous loupez quelquechose !

    Fan depuis 10 ans , il a accompagné

    les plus grands moments de ma modeste vie ,

    a enchanté et emmerveillé quelques une

    de mes soirées les plus mémorables ,

    notament un Concert magik au Ninkasi...!

    Exile premier album

    Exile le premier et peut être le plus "magik" ?!

    Geoffrey ORYEMA

    On peut voir flotter ses dreadlocks dans les vallons normands, du côté du village de Lillebone où il s'est installé en 1989. Mais rares sont ceux qui connaissent le passé de cet Ougandais que la presse surnomme aujourd'hui le "Leonard Cohen africain".

      

    Adopté par la France, figure marquante de la vague Realworld initiée par l'ex-Genesis Peter Gabriel, Geoffrey Oryema est né en 1953 à Soroti, dans l'Est de ce qui est encore le royaume de Buganda, futur Ouganda. Il est issu de la noblesse acholi, une ethnie nilotique que les colons britanniques considéraient comme une "race martiale" et qui prit les rênes de l'armée nationale ougandaise après l'indépendance du pays en 1962.

    Découvertes privilégiées

    Lorsqu'il n'est encore qu'un enfant, sa famille s'installe à Kampala, la capitale. Ses parents appartiennent à la nouvelle élite intellectuelle nationale et le plongent très tôt dans la culture traditionnelle. Il est entouré de nombreux poètes, conteurs, musiciens et son père, alors professeur d'anglais, lui enseigne l'art de la musique pentatonique, au son de la nanga (une harpe à sept cordes), et le laraka laka, musique de la séduction qu'il décrit comme le "vrai rock ougandais". De son côté, sa mère, à la tête de la compagnie de danse nationale, The Hearbeat of Africa, l'emmène en tournée à travers le pays. Adolescent, Geoffrey Oryema se plonge dans la culture rock anglo-saxonne (en premier lieu les Rolling Stones et la vague flower-power californienne) qu'il découvre dans les meilleurs lycées de la ville au côtés de la jeunesse expatriée américaine et britannique tout en continuant à s'initier à la flûte, au lukeme (le piano à pouces) et à la guitare.

    Il songe d'abord à se lancer dans le théâtre et prend des cours à l'Ecole d'art dramatique d'Ouganda. Alors qu'en 1971, Idi Amin Dada prend le pouvoir détenu jusque là par Milton Obote, il commence à écrire ses premières pièces d'avant-garde inspirées par Brecht, Stanislavski et Grotowski. Dans ce théâtre de l'absurde, mêlant sons tribaux et bouffées d'onomatopées, improvisations et allégories, autant de traces que l'on retrouvera ultérieurement dans son œuvre discographique, percent aussi les premières inquiétudes liées à la dérive mortifère du régime du Maréchal Idi Amin Dada. Comme il le rappelle lui même : "Nous devions vivre au jour le jour avec, sous nos yeux, ce qui se passait dans la rue. Au vu et au su de tout le monde, des gens étaient abattus ou fourrés dans le coffre d'une voiture". Cette descente aux enfers trouve son apogée en février 1977 lorsque son père, devenu ministre de l'Eau et des Ressources, disparaît mystérieusement dans un accident de voiture qui a tout de l'assassinat maquillé.

    Exil en Europe

    Pendant que celui qu'on surnomme "l'Ubu noir" multiplie les exactions contre les Acholis et élimine systématiquement l'opposition, Geoffrey Oryema décide de quitter son pays. On le retrouve de l'autre côté du Lac Victoria, au Kenya ou il est accueilli par le Centre Culturel Français de Nairobi qui accueille sa dernière pièce, le Règne de la Terreur, dénoncée par le satrape ougandais. Alors que Kampala s'enfonce dans une terrible fin de règne sous le regard de la Tanzanie qui s'apprête à mettre fin au règne Idi Amin Dada, Oryema, par amour de la langue française qu'il considère comme une des plus belles du monde, décide de rallier Paris, alors la capitale de la nouvelle musique africaine. Il s'y installe en 1977.

    Durant les premières années en France, dans les années 80, il multiplie les petits boulots. Finalement, ses premières maquettes de disques tombent dans les oreilles des programmateurs britanniques du Womad, premier festival marquant de musique de monde, initié par Peter Gabriel. Dans le moulin de Bath, quartier général du tout nouveau label Real World en Angleterre, Oryema enregistre son premier album, "Exile", en 1990. Alternant morceaux à la guitare et titres accompagnés de harpe nanga, de sanza et de flûte nyamuleré, l'album est produit par Brian Eno, grand metteur en son des Talking Heads et de U2. Cette première galette est remarquée par les critiques avant d'être consacré par le grand public via le tube "Ye Le Le" qui servira de générique à une célèbre émission télévisée des années 90, le Cercle de minuit.

    Sobre et poignant, à l'avant garde d'une nouvelle vague d'artistes africains qui privilégient l'acoustique plutôt que les grands orchestres des années 80, "Exile" permet alors à Geoffrey Oryema de côtoyer la scène française (duo avec Alain Souchon, Catherine Lara, mais aussi l'Algérien kabyle, un autre exilé, Idir ou le pianiste de jazz Michel Petrucciani) et de s'installer parmi les meilleurs vendeurs du label Real World.

    Succès discret

    En 1994, "Beat The Border", second disque chez Real World élargit encore un peu plus son audience. Son audacieux mélange d'acoustique et de son synthétiques lui ouvre la porte des Etats-Unis. Geoffrey Oryema s'installe douze semaines au sommet du prestigieux Billboard World Music. On le voit à la télé sur le NBC Today show et sur les scènes américaines à l'occasion de plusieurs tournées au profit d'associations humanitaires ( Reebok Human Rights Awards, Rainforest Foundation International Benefit...). Oryema, qui explique que sa musique " vient de son cœur " et qu'il n'a nullement l'intention " d'être cantonné dans un ghetto musical " parce qu'il souhaite " être universel " poursuit son va et vient entre Nord et Sud, rock et tradition, en sortant en 1997 son troisième album pour Real World, "Night To Night". Serti de la présence du collègue zaïrois Lokua Kanza (qui intervient sur trois morceaux), hanté par les fantômes des Stones, des Shadows, de Roxy Music, mais aussi les réminiscences d'Ali Farka Toure et de Baaba Maal, cet album qui trouve moins son public que les précédents pousse à son paroxysme le grand écart entre les deux hémisphères cérébraux et musicaux de l'Ougandais.

    Installé en Normandie, marié à une Française, celui qui continue à avoir une relation "d'amour et de haine avec l'Afrique" a attaqué le 21ème siècle au sein d'une nouvelle maison de disques (Sony) et avec un "Lost Spirit" qui ressemble à un exorcisme. Sur ce disque poignant, sorti début 2000, produit par Rupert Hines et appuyé par l'ancien clavier des Wailers Tyrone Downie, Geoffrey Oryema se penche enfin sur son passé ougandais en dédiant une de ses chansons à son père. Le moment, enfin, de renouer avec le pays natal ?Comme il l'a toujours fait régulièrement, le chanteur donne une série de concerts à travers la France en 2002.

    African pop

    Geoffrey Oryema revient aux sources en 2004 avec Words, disque produit par Adrian Chivers, ancien ingénieur du son de Real World. Sous des dehors très pop, l'album mêle toujours les instruments traditionnels, la nanga, le lukémé, aux guitares et aux programmations. Nadine Marchal et Mélanie Gabriel (la fille de Peter Gabriel) apportent leurs voix.

    L'artiste, désormais naturalisé français, reste plus que jamais un citoyen du monde capable de chanter en français, en anglais, en swahili et en atcholi. Comme il l'écrit dans Flying, le voyage est l'ouverture aux autres essentielle, un mode de vie. Il repart sur la route pour une tournée qui démarre en France au printemps 2004.

     

    rfimusique.com

    Word

    Son dernier album...Trés bon aussi !


    5 commentaires
  • Voici une nouvelle rubrique :

     NESTA ' MUSIK

    Je vais commencer par Youssou n'dour : artiste afrikain déjà bien connu en france  (notament avec le duo "7 seconds"avec Neneh Cherry) et l'hymne de la coupe du monde (c'est beau un monde qui joue) en duo avec Axel Red.

    La photo , c'est l'album Eyes open , plutot bon et avec surtout une "perle" (a mon gout) Africa remembers...

    Quelques titres qui me font vibrer...: undecided (deep radio mix) ma preferée, que l'on peut trouver sur l'album "Womat" (tres bon album);      Bes , dans le best of...Diambar dans le best of 80's...et encore plein de beaux titres...

    Pour finir , notez que youssou contribut énormement au développement de nombreux chanteurs afrikains...!

    PS: bientôt , un apperçu sur Geoffrey Oryema et Touré kunda...


    10 commentaires
  • limpiditée des paroles , beautée de la musik , magie des vibrations...et je pourrais continuer pendant des heures...folie d'adolescent , qui se prolonge a l'age adulte ou vibration positive qui ne cesse de grandir...?!

    Bien sur que l'on peut retenir que le coté fumeur de joints et s'arreter là...mais bob marley c'est beaucoup plus : des textes inspirés , des rythmes endiablés qui vous remuent , des ballades qui vous transportent...c'est une grandeure d'ame : des centaines de personnes vivaient "a ses crochets"  du coté de trenchtown , une lutte et des concerts pour la paix en jamaïque , pour l'independance du Zimbabwe ect...

    alors pour tout cà...

    merci papa!!!


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